AVIS-IBIS

Birds of Indian Subcontinent

Polygyny in the European Starling

Publication Type:Journal Article
Year of Publication:1989
Authors:Pinxten, R, Eens, M, Verheyen, RF
Journal:Behaviour
Volume:111
Issue:1/4
Date Published:1989
ISBN Number:00057959
Keywords:Sturnidae, Sturnus, Sturnus vulgaris
Abstract:1. The polygynous behaviour of male starlings breeding in nest box colonies around Antwerp, Belgium, was studied for 4 years in order to investigate whether polygyny is a widespread reproductive strategy in this species. 2. The proportion of breeding males occupying more than one nest box ranged from 44% to 72%. Some males (23%) apparently 'preferred' to mate monogamously since they occupied only one nest box despite one or more unoccupied neighbouring nest boxes being available. Generally, the occupation of more than one nest box was not related to arrival date, age or morphological characteristics. 3. On average 39% of breeding males tried to become polygynous. Of these males, 68% tried to attract a second female during the fertile period of their first one. By occupying nest boxes situated close together, male starlings can try to attract a second female at the same time that they guard their first female. Males varied considerably in the number of days they tried to become polygynous (range 2-11 days). However, most (85%) were trying during the laying period. The fact that all males trying to attract an additional female had permanently stopped their attempts at the latest when the nestlings were 10 days old suggests that after this point the possible benefits of trying to attract an additional female are outweighed by the costs incurred from not feeding their young at that time. 4. The frequency of polygyny in the starling was established for the first time and ranged from 20% to maximum 60%. These results indicate that the starling has to be considered as a regular polygynist (exceeding the limit of 5% of male breeding records). Bigamy was the form of polygyny typical in our study areas. Older males were polygynous more frequently than yearlings, possibly because they alto tried to attract a secondary female more frequently and had higher success than yearling males. As regards arrival sequence, there was no significant difference in the proportion of early and late arriving males that were polygynous. Early males tried to become polygynous more frequently than late males, but did not have higher success. 5. Polygynous males produced significantly more fledglings per year than did monogamous males (7.9 vs 4.6), strongly suggesting that they achieved higher fitness compared to monogamous males. However, so far, accurate measures of the variance in male reproductive success are not possible, since the frequency of successful extra-pair copulations in the starling remains unknown. /// 1. Le comportement polygynique de l'étourneau mâle nichant dans une colonie de nichoirs près d'Anvers, Belgique, a été étudié pendant 4 ans, afin d'examiner si la polygynie est une stratégie de reproduction répandue pour cette espèce. 2. La proportion de mâles nicheurs occupant plus d'un nichoir variait entre 44% et 72%. Certains mâles (23%) "préféraient" apparemment être monogames car ils n'occupaient qu'un nichoir malgré la disponibilité de nichoirs libres à proximité. L'occupation de plus d'un nichoir n'était, en général, pas liée à la date d'arrivée, l'âge ou les caractéristiques morphologiques. 3. Une moyenne de 39% de mâles nicheurs essayaient de devenir polygames. Soixante-huit pour cent d'entre eux essayaient d'attirer une deuxième femelle pendant la periode fertile de la première. En occupant plusieurs nichoirs situés à proximité l'un de l'autre, l'étourneau mâle peut essayer d'attirer une deuxième femelle tout en surveillant sa première. Il y a une grande variation dans le nombre de jours qu'un mâle tentait de devenir polygame (de 2 à 11 jours). La plupart (85%) essayaient pendant la période de ponte. Le fait que la plupart des mâles essayant d'attirer une autre femelle arrêtaient leurs tentatives au plus tard quand les pulli avaient 10 jours, suggère qu'après ce point le coût de ne pas nourrir les pulli à ce moment est prédominant sur le gain d'attirer une femelle supplémentaire. 4. La fréquence de polygynie a été établiée pour la première fois et variait entre 20% et maximum 60%. Ces résultats impliquent que l'étourneau doit être considéré comme un polygyniste régulier (exédant la limite de 5% des mâles nicheurs). La bigamie était la forme la plus typique dans notre aire d'étude. Les mâles adultes étaient plus fréquemment polygames que les jeunes mâles, probablement parce qu'ils essayaient plus fréquemment et qu'ils avaient plus de succès que les jeunes mâles. En examinant les séquences d'arrivée sur les lieux de reproduction, il n'y avait pas de différence significative dans la proportion de mâles polygames arrivant tôt ou tard. Les mâles arrivant tôt essayaient plus fréquemment de devenir polygames mais n'avaient pas plus de succès. 5. Les mâles polygames produisaient significativement plus de jeunes par an que les mâles monogames (7.9 vs 4.6). Ceci laisse supposer qu'ils arrivaient à un "fitness" plus élevé en comparaison avec les mâles monogames. Jusqu'à présent, une mesure exacte de la variation du succès de reproduction des mâles n'est pas possible puisque la fréquence des "accouplements extraconjugaux" réussis n'est pas connue.
URL:http://www.jstor.org/stable/4534817
Short Title:Behaviour
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